Le NPA 66 appelle à participer à la journée nationale d’action du 8 octobre et à se rassembler Place de Catalogne, à Perpignan, à 11h, à l’appel des syndicats CGT, FSU et Solidaires
Presque chaque jour, un représentant du patronat, un homme politique de droite ou de « gauche », mais le plus souvent un ministre du gouvernement Hollande-Valles - et surtout le plus nuisible d’entre eux, Emmanuel Macron - promettent de s’attaquer au monde du travail.
Les scandaleuses attaques aériennes en Syrie, les sinistres discussions autour du nombre de réfugiéEs que la France serait censée pouvoir accueillir, la répétition des macroneries, les turpitudes des pollueurs-menteurs de l’industrie automobile, prennent le pas médiatique sur les résistances sociales.
Pourtant, en cette rentrée, les salariéEs, les enseignantEs, les personnels hospitaliers, les postierEs, les territoriaux, etc. ont repris le chemin de la grève et de la lutte, souvent associés aux usagers dans la défense d’une école, d’un hôpital, d’un bureau de poste ou d’un service municipal…
Mais face à l’ampleur des attaques antisociales mais aussi anti-immigrées, anti-écologiques et antidémocratiques, concoctées et planifiées par le patronat et Hollande-Valls, il y a urgence à rassembler nos colères, unifier nos revendications, faire converger nos luttes en un TOUS ENSEMBLE.
Il est plus que temps d’en finir avec les journées d’action séparées par profession, par syndicat. Il faut en finir avec l’escroquerie d’un dialogue social qui ne donne la parole qu’au patronat, pour son seul bénéfice.
Nous devons tout faire pour que la journée d’action intersyndicale du 8 octobre permette de faire franchir un pas aux luttes. Nous devons rassembler les colères, unifier les revendications, multiplier les débrayages, les cortèges unitaires partant des entreprises. Faire de cette initiative une journée combative qui donne envie de continuer, d’étendre les mobilisations.